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Yann-Ber TILLENON sur Wikipédia


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le : 05. 09. 2007 [21:24]
Yann-Ber TILLENON
Yann-Ber TILLENON
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Voici ce qui se trouvait il y a encore une semaine sur “Wikipédia” à mon sujet. Ça demandait encore à être corrigé... Mais c’était quand même plus proche de la vérité que ce que raconte les journalistes et autres larbins assermentés à la presse aux ordres... Les staliniens ne supportent toujours pas ce qui dérange leur "prêt à penser totalitaire" qui nourrit toutes les formes de censure fasciste.

Il y avait autrefois une dizaine de lignes sur moi dans "Wikipédia". Elles arrangeaient nos nouveaux curetons inquisiteurs puisqu'ils me faisaient passé pour un "nationaliste", un homme d'"extrême droite"! Manque de chance, des amis ont rajouté des éléments contradictoires faisant état de mes relations, de mon passé "gauchiste", de mon ouverture depuis très longtemps sur des gens très différents. Cela ne les rassure plus du tout et n'arrange plus leur boutique. Il ont donc, purement et simplement tout éffacé!... " La censure est un aveu. On empêche de parler que la bouche qui dit la vérité"!...

Sur WIKIPÉDIA jusqu'à fin août:

Tillenon Jean-Pierre dit "Yann-Ber Tillenon", est un philosophe original. C’est un autodidacte qui enseigne la philosophie pratique de l’homme global, à partir de l’expérience concrète sur les quatre plans de la personnalité: terre, eau, air, feu correspondant aux plans politique, théologique, artistique, scientifique. Il est fédéraliste, artiste-peintre sculpteur, druide de Bretagne comme son père (Thénénan) et son grand-père (Louzaouer). C’est un philosophe classique,autonomiste breton.

Sommaire
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1 Jeunesse
2 Appartenance politique
3 Philosophie
4 Le Kelc'h Maksen Wledig
5 Le GRECE
6 Activités sociales
7 Médecin alternatif
8 Polémiques
9 Liens

Jeunesse [modifier]
Il est né le 5 décembre 1947 dans le 13e arrondissement de Paris. Il est ensuite scolarisé à l’école Karl Marx de Villejuif, dans le Val de Marne où son père était garagiste, fondeur, épaviste avant de faire carrière dans l ‘aéronautique.
Très jeune, Yann-Ber Tillenon est familier du monde ouvrier des faubourgs. Il fréquente les Jeunesses Communistes. Enfant, Il préfère lire et peindre, apprendre dans la rue et les bibliothèques, plutôt que d’aller à l’école. Il est salarié très tôt. Adolescent, on le retrouve apprenti menuisier en 1962, apprenti chaudronnier en 1963. Il est commis magasinier à Orly en 1964, manutentionnaire dans les halles de Paris en 1966, Légionnaire à Tahiti en 1967, Agent de Transit en 1969, Déclarant en douane chez NCR en 1971, Cadre import-export en 1978. Il sera étudiant libre à l’EPHE de la Sorbonne de 1977 à 1987 où il refuse de passer un doctorat que lui proposait le Professeur Léon Fleuriot et aux Beaux arts de la Ville de Paris de 1983 à 1991. Il a dessiné, peint, sculpté toute sa vie et produit plusieurs milliers d’œuvres.


Appartenance politique [modifier]
Politiquement, Il adhère au MOB (Mouvement fédéraliste pour l'Organisation de la Bretagne) en 1965, à ESB (Emsav Stadel Breizh) ou « Mouvement Étatique de Bretagne » en 1968. En 1972, il est à l’OJTR ( Organisation des Jeunes Travailleurs Révolutionnaires), Jeunes du PSU de Michel Rocard. Il participe activement au Mouvement des Autonomes jusqu'en 1981. Il a publié : « Le militantisme, stade suprême de l’aliénation », « Statuts imaginaires pour une association des travailleurs communistes », 3 N° de "Un monde sans argent: Le communisme", participé à "King Kong international", "La guerre sociale », « A bas le prolétariat, vive le communisme ! ». Il qualifie ces publications anarchistes des années 70 de « Grand rêve révolutionnaire d’une société utopique ».
Il a participé, avec une dizaine de cadres politiques, à la Conférence Internationale sur “L’avenir du Monde blanc” à Moscou, les 8 et 9 juin 2006 et signé la déclaration commune de celle-ci. Il a donc fréquenté et appris de tous les milieux politiques de la base. Pour se former, cet autodidacte a côtoyé des gens de tous les milieux, de l’extrême gauche à l’extrême droite. C’est pourquoi il se présente au nom de l’ “extrême centre”. Il déclare:"...Géométriquement, c’est le « sommet » de la pyramide. Il rassemble, au-dessus de tous les conflits de classes, de races, etc!... C’est la voie du milieu dans l'antique tradition indo-européenne.


Philosophie [modifier]
Les extrêmes ne l'aiment pas et il le leur rend bien. "...Son principe est le principe fédérateur de l’inclusion des contraires, des différences dans la tolérance. « …C’est le centre spirituel de la cible. Il permet de viser juste, de transcender la médiocrité matérialiste en donnant un sens idéaliste à la vie des peuples...".
Le fédéralisme est pour lui une solution en France et en Europe. C’est le fondement philosophique sacré de la subsidiarité. Il veut que toute instance capable de prendre une décision ne la laisse pas prendre par une instance supérieure. C’est l’inclusion, dans l’harmonie, de tous les contraires, contre l’exclusion de qui que ce soit.
C’est la logique du « ET », (de l’un ET l’autre) et non pas du « OÙ », (de tout l’un OU tout l’autre) totalitaire. Jean-Pierre Tillenon se dit donc ET de gauche ET de droite. "...C’est ce que nos ancêtres, les Romains appelaient déjà la vérité comme « unité totalité paradoxal », dans la « coïncidentia oppositorum », la coïncidence des oppositions...".

Le Kelc'h Maksen Wledig [modifier]
Il a fondé en 1983 un cercle autonomiste breton fédéraliste européen, le Kelc'h Maksen Wledig (Cercle Maxen Empereur). Il est directeur de la revue celtique "Diaspad" et du bulletin de l'association "Kêrvreizh", dont il est le président depuis 1985.


Le GRECE [modifier]
Il a fait partie d'un think tank, le GRECE d'Alain de Benoist, dont il participe à la scission en 1987 avec Guillaume Faye. Il est plusieurs fois candidat fédéraliste aux cantonales à Lannilis et aux présidentielles (1995, 2002, 2007).


Activités sociales [modifier]
De 1990 à 1993 il occupe le sémaphore de l’Aber wra’ch (F.29870) avec un terrain de camping PAJ. Il nomma l’ensemble « sémaphore de l’Europe ». Il y organisa comme éducateur des ateliers d’art et de nombreuses expositions avec des jeunes « beurs blacks » et « skinheads » des banlieues de Paris pour les calmer. Le sémaphore fut victime d’un attentat le 17 septembre 1992 après que Yann-Ber Tillenon ait appelé à soutenir François Mitterrand et voter « oui » au référendum sur les accords de Maastricht.


Médecin alternatif [modifier]
Il pratique le magnétisme et la chromatothérapie. Il a traité François Mitterrand, François de Grossouvre, le Comte de Paris, le Comte Jacques de Ricaumont, la Comtesse Madeleine de Solliers et de nombreuses autres personnes de la “Jet Set” parisienne.


Polémiques [modifier]
René Monzat évoque dans un de ses livres un très étrange document : au printemps 1983, sur la couverture du deuxième numéro de « Diaspad » on voit un homme debout derrière une femme, tous deux torses nus. La femme, en position de tir, tient un revolver, l’homme lui tient les bras et guide son geste. L’homme, c’est Yann-Ber Tillenon lui-même, la femme serait Joëlle Aubron, membre d'Action directe qui a été sa maîtresse durant l’année 1979. Cette photographie sera publiée par Le vrai journal de Karl Zéro, en janvier 2001. Il a gagné un procès contre Karl Zéro pour diffamation. Karl zéro avait publié un article de Renaud Marhic qui qualifiait Yann-Ber Tillenon de « nazi ». cf site : www.tillenon .com
Aujourd’hui Yann-Ber Tillenon continue à peindre et a beaucoup voyager. Il fait des expositions un peu partout dans le monde. Il publie surtout sur Internet.



Liens [modifier]
Site de Jean Pierre Tillenon
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