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Le National Séparatisme de Kemi Seba


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le : 01. 02. 2007 [09:31]
Yann-Ber TILLENON
Yann-Ber TILLENON
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LE NATIONAL-SEPARATISME



I. DIAGNOSTIQUE

Le rôle de tout Nétéru est de tout mettre en oeuvre pour rétabir l'ordre des choses quand cet ordre a été déséquilibré. L'ordre, comme nous le savons, n'est rien d'autre que la Ma'ât. C'est donc du devoir des Nétéru de rétablir la Ma'ât quand l'équilibre a été rompu.

Ainsi doit-il: observer, analyser, élucider et enfin apporter une ou des solutions aux problèmes qui se posent.

Il lui faut remonter le temps, voire jusqu'aux aurores nuniques, pour essayer de voir si ses prédécesseurs n'ont pas été confronté aux mêmes problèmes. Et le cas échéant, les imiter ou les surpasser.

Or, un problème prégnant, majeur nous attire tous vers les abysses, vers la Duat (Enfer dans la dialectique sémitique). Ce problème, pour mieux le circonscrire; et partant, mieux le comprendre peut être appréhendé comme un animal marin, un céphalopode, plus connu sous le nom de pieuvre, ou de poulpe; du grec polybos, qui signifie "plusieurs bras."
Le mimétisme entre le comportement de la pieuvre et le procès du "problème" majeur qui nous asphixie est tellement effrayant que l'on en arrive à se demander qui a inspiré l'autre.

Comme le "problème", la pieuvre est homochrone, c'est à dire qu'elle est capable de prendre telle ou telle couleur, en fonction de l'environnement où elle se trouve. C'est cette capacité caméléone qui permet au "problème" de se conjuguer avec la France, la Grande Bretagne, les USA, l'Allemagne, le Continent africain ainsi que tous les pays qu'il a vampirisé, et continue encore et toujours de vampiriser, et ceci sans que les autochtones ne s'en rendent comptent.

En plus de l'homochronie, le "problème" comme la pieuvre ont la capacité de prendre certaines silhouettes. La pieuvre, par exepmle, peut prendre la forme d'une anguille, ou même d'un poison-lion. Quant au "problème" sa présence dans toutes les sphères des Etats, des Institutions internationales, des banques, en bref des lieux décisionnaires suffit à nous convaincre de ses capacités de métamorphose.

Comme le "problème", la pieuvre possède plusieurs bras et peut, si le besoin s'en fait sentir, en détacher un qui repoussera par la suite. Or nous connaissons les bras du "problème". Et ces bras se nomment:mélangisme, marxisme, communisme, capitalisme, libéralisme, colonialisme, tiers-mondisme, alter-mondialisme, etc. Dans l'Histoire, à plusieurs reprises, le "problème" s'est délesté de quelques uns de ses bras, pour par la suite les remplacer par d'autres.

Comme le "problème", la pieuvre est très "rusée", et a beaucoup de "flair" via un bec corné (nez?) assez remarquable.

Comme le "problème", la pieuvre [à anneau] malgré sa petitesse, son caractère faussement mineur, est capable de tuer l'Humanité. Le "problème" comme nous le savons est porté par une minorité de gens qui contrôlent tout et s'échinent à vouloir faire disparaître l'Humanité, du moins à l'esclavagiser.

Comme le "problème", la pieuvre a la possibilité de libérer un épais nuage d'encre noire pour se défaire de ses ennemis. Le venin de ce céphalopode peut-être répandu dans l’eau via le nuage d'encre noire ou être directement injecté lors d’une morsure, qui, très souvent est létale. Ce venin agit en quelques minutes et provoque une détresse respiratoire grave. Le traitement de cette attaque venimeuse se résume en ces quelques mots : immobilisation, désinfection, glaçage, évacuation vers un centre médical.

Ce "problème" vous l'avez tous compris, est le SIONISME. Le fait de l'appréhender comme le polybos [la pieuvre] va nous aider à mieux le combattre, donc mieux l'éradiquer. Face à la morsure létale de la pieuvre [à anneau], il est, en effet, recommandé d'immobiliser, de désinfecter, de glaçer et enfin dévacuer la victime vers un centre médical. C'est en suivant ce procès et pas autre chose que nous élaborerons l'idéologie capable de venir à bout cette pieuvre qu'est le sionisme.

Beaucoup se sont trompés de méthodes pour combattrre cette bête immonde. Il était d'usage de vouloir faire tomber d'abord ses tentacules (capitalisme, communisme, libéralisme, marxisme, colonialisme, etc.), ce fut là une erreur, car quand une tentacule est coupée, il en repousse une autre. D'autres ont voulu chercher à s'allier à une autre pieuvre pour combattre la pieuvre sioniste, mais ils avaient oublié qu'une pieuvre ne tue pas une congénère, et surtout pas pour le compte d'autrui.

II. SOLUTION: LE NATIONAL-SEPARATISME

Face à la menace "céphalopode" qu'est le sionisme, et qui travaille à détruire toute trace de dignité, de revendication identitaire, et de fierté raciale, il convient de faire un retour aux sources. De re-partir aux aurores antiques, de re-venir aux questions nuniques, pawtiques [fondamentaux]. Or fondamentalement, les Anciens disaient: "je suis car NOUSsommes". A quoi renvoie ce "nous", si ce n'est au peuple, à la Nation? La Nation, après Dieu, a la primauté en matière de questionnement. Or chaque peuple, chaque Nation se distingue par son rapport qu'il a Dieu, donc au Monde, donc au Cosmos. Et vouloir asphixier, esclavagiser, faire disparaitre ces différentes expressions nationales, c'est participer activement au déséquilibre du Monde, c'est se dresser contre le Créateur comme le fait Apep [Apophis].

En ce sens, le sionisme n'est autre que le visage d'Apep. A dire vrai, le sionisme en est plutôt la colonne vertébrale. Et le devoir de tout individu, avant même de combattre Apep, qui participe au déséquilibre du Monde, c'est d'affermir son peuple, c'est d'immobiliser le corps national pris de convulsions après la morsure d'Apep, c'est de désinfecter cette plaie ouverte causée par les attaques incesantes, par la "pieuvre", de l'identité nationale, du patrimoine nationale, de la politique nationale, de l'économie nationale, de la solidarité nationale. Le devoir de tout individu c'est de glacer la blessure nationale et enfin d'évacuer le corps meurtri, de la Nation, loin de l'assaillant, de se tenir loin de la "pieuvre"!

Nous comprenons bien, qu'en ces temps de vacarme, de confusions, d'approximations, l'heure est à l'urgence. L'urgence de penser mais surtout l'urgence d'agir. Agir dans quel sens, si ce n'est celui de la consolidation nationale? L'objectif immédiat est d'abord et avant tout NATIONAL. Chaque peuple doit, aujourd'hui, re-venir à ses Ancêtres, à ses antiquités classiques, à ses aspirations spirituelles, culturelles primordiales. Nous devons tous faire oeuvre de nationalisme. Nous devons, face à la morsure sioniste, prendre soin de nos Nations respectives (cf. "immobiliser, désinfecter, glacer, évacuer&quoticon_wink.gif.

Et ces Nations ne pourront s'affirmer, ne pourront prospérer que dans la mesure, où elles se tiennent loin de la "pieuvre", que si elles se respectent mutuellement en vivant chacun dans son environnment naturel. La "pieuvre" à intérêt que que le chaos règne, que la confusion règne. Comme son congénère marin, la "pieuvre" libère un épais nuage paralysant, rempli de toxines que nous inhalons, et qui nous empoisonnent. Et ce sont les écoles, le prêt-à-penser et autres médias, qu'elle contrôle, qui servent d'excipients. Quiconque ne se dégage pas des tentacules, du nuage paralysant ou des crocs de la "pieuvre" est condamné a rejoindre la cohorte de co-damnés [du sionisme].

L'éradication de la "pieuvre" passe non pas par des méthodes surannées, comme la destruction une à une de ses tentacules, ni l'alliance-soumission à d'autres "pieuvres", mais par l'utilisation d'armes provenant de notre génie créateur; de harpons capables de percer la tête et les coeurs de la "pieuvre". Le national-séparatisme représente cette arme de destruction massive du sionisme. Le sionisme, et par ricochet les sionistes, sont partout chez eux, car ils sont nomades par nature et n'ont pas d'habitat fixe. Raison pour laquelle, ils refusent d'entendre parler de nationalisme et de séparatisme. Car quand tout le monde à un chez soi et qu'on en a pas, entendre parler de retour chez soi renvoie inexorablement tout nomade au vide. Là où les Kémites diront qu'ils ont Kemet, que les Aryens diront qu'ils ont l'Europe, que les Martiens diront qu'ils ont Mars, les sionistes, eux, n'ont que le vide. Aussi incitent-ils les gens à sortir de leur maison, à se mélanger dans la rue, afin qu'eux puissent prendre posession de nos demeures.

Mais voilà, l'heure est au retour à la raison, au retour à la maison, à la valorisation de notre maison, à l'expulsion des squatteurs de nos maisons. C'est là un discours insoutenanble pour le nomade qui a l'habitude de squatter la demeure des autres. Le national-séparatisme renvoie le sioniste, donc le nomade à sa dure réalité antique, celle du errant, du sans domicile fixe, de la violence pastorale, de la rapine que fuyaient déjà ses ancêtres à Ur. Le national-séparatisme qui est le terreau des peuples dignes est, en opposition, le cauchemar, la révélation vertigineuse du nomade, du sioniste, de la "pieuvre", d'Apep.

Et c'est pour mettre en application cette idéologie libératrice [le national-séparatisme] qu'est né, au sein du peuple kémite, le triptyque politique suivant: Désionisation-Dédommagement-Rapatriement. Cette trinité politique n'est autre que la grammaire du national-séparatisme: par le diptyque Désionisation-Dédommagment, elle immobilise, désinfecte, glace le corps national infecté, en déboutant les sionistes de "leur" pouvoir [Désionisation] et en apportant des soins de première nécessité au corps convulsif de la Nation [dédommagement]. Par son dernier volet [Rapatriement], elle évacue le corps, en convalescence, de la Nation vers des terres où elle pourra se rétablir entièrement, se revivifier et prospérer comme d'antan.

Ainsi nous voyons qu'à la pieuvre sioniste d'Apep correspond le nécrophore kémite du Fara Kémi Séba.